Les neurosciences affectives et sociales pour comprendre l’expérience humaine
Cet article est un extrait de Passion d'Apprendre Magazine (vous pouvez le télécharger intégralement et gratuitement sur ce lien : https://passiondapprendre.com/Passion_d_Apprendre/m-Magazine-magazine )
1) Comment les neurosciences peuvent aider à mieux éduquer?
Nous sommes en pleine révolution! Des chercheurs cliniciens comme Catherine Gueguen, Christophe André ou moi, cherchons à faire des ponts entre ce qu’on observe auprès de nos patients et ce que disent les neurosciences. À cet effet, le courant des neurosciences affectives et sociales est fondamental pour mieux comprendre l’expérience humaine.
Précédemment, les neurosciences cognitives ont permis un bel essor pour faire des liens entre la biologie et la psychologie, mais elles sont essentiellement restées cantonnées au fonctionnement cérébral. On a alors bien documenté les processus cognitifs, mais on a oublié les processus émotionnels et affectifs. Or, on attend de la part des enfants et des adolescents des prouesses qu’ils ne sont pas encore capables de réaliser.
En fait, notre cerveau n’atteint sa pleine maturité que dans la quarantaine, car on voit un épaississement progressif du cortex surtout préfrontal – la partie la plus humaine de notre cerveau – jusqu’aux alentours de 45 ans. Après, deux groupes se forment. Un groupe qui va voir cette épaisseur se maintenir tout au long de leur vie et les personnes vivront une vieillesse en santé sur le plan cognitif et affectif. Un second groupe verra l’épaisseur du cortex être altérée et ces personnes seront fortement à risque de développer les symptômes des maladies neurodégénératives.
Donc, il est clair que cela prend plusieurs décennies pour que le cerveau développe l’ensemble de son potentiel. Aussi, il est encore plus clair que les enfants et les adolescents n’ont pas atteint un degré de développement suffisant pour gérer tous les défis qu’ils rencontrent aujourd’hui. Allan Shore a d’ailleurs montré les étapes successives des acquisitions en termes de ressources durant l’enfance et l’adolescence. Cela prend du temps et il ne sert à rien de précipiter les choses.
En résumé, il y a une séquence dans la maturation du cerveau. Durant la petite enfance, c’est le cerveau émotionnel qui prédomine. Durant l’enfance, c’est l’hémisphère droit, la partie du cerveau qui organise les affects. Durant l’adolescence, c’est l’hémisphère gauche qui prend sa place et offre les ressources nécessaires à l’analyse et la logique. Et puis, il faudra encore 25 ans pour que le préfrontal puisse vraiment créer assez de connections entre les aires des deux hémisphères pour que le tout soit optimisé.
On sait également que, et Boris Cyrulnik en parle beaucoup, le cerveau crée quelque 300 millions de synapses par jour durant la petite enfance et l’adolescence si, et seulement si, le jeune se sent en sécurité. Cette sécurité se base sur la qualité du lien entre lui et un adulte – souvent le parent, mais aussi la puéricultrice ou l’enseignant – voire un groupe d’amis durant l’adolescence. Dès qu’il se sent insécurisé, les mécanismes de défense lui permettent de réagir, mais bloquent aussi le processus de maturation cérébrale.
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Nous sommes en pleine révolution! Des chercheurs cliniciens comme Catherine Gueguen, Christophe André ou moi, cherchons à faire des ponts entre ce qu’on observe auprès de nos patients et ce que disent les neurosciences. À cet effet, le courant des neurosciences affectives et sociales est fondamental pour mieux comprendre l’expérience humaine.
Précédemment, les neurosciences cognitives ont permis un bel essor pour faire des liens entre la biologie et la psychologie, mais elles sont essentiellement restées cantonnées au fonctionnement cérébral. On a alors bien documenté les processus cognitifs, mais on a oublié les processus émotionnels et affectifs. Or, on attend de la part des enfants et des adolescents des prouesses qu’ils ne sont pas encore capables de réaliser.
En fait, notre cerveau n’atteint sa pleine maturité que dans la quarantaine, car on voit un épaississement progressif du cortex surtout préfrontal – la partie la plus humaine de notre cerveau – jusqu’aux alentours de 45 ans. Après, deux groupes se forment. Un groupe qui va voir cette épaisseur se maintenir tout au long de leur vie et les personnes vivront une vieillesse en santé sur le plan cognitif et affectif. Un second groupe verra l’épaisseur du cortex être altérée et ces personnes seront fortement à risque de développer les symptômes des maladies neurodégénératives.
Donc, il est clair que cela prend plusieurs décennies pour que le cerveau développe l’ensemble de son potentiel. Aussi, il est encore plus clair que les enfants et les adolescents n’ont pas atteint un degré de développement suffisant pour gérer tous les défis qu’ils rencontrent aujourd’hui. Allan Shore a d’ailleurs montré les étapes successives des acquisitions en termes de ressources durant l’enfance et l’adolescence. Cela prend du temps et il ne sert à rien de précipiter les choses.
En résumé, il y a une séquence dans la maturation du cerveau. Durant la petite enfance, c’est le cerveau émotionnel qui prédomine. Durant l’enfance, c’est l’hémisphère droit, la partie du cerveau qui organise les affects. Durant l’adolescence, c’est l’hémisphère gauche qui prend sa place et offre les ressources nécessaires à l’analyse et la logique. Et puis, il faudra encore 25 ans pour que le préfrontal puisse vraiment créer assez de connections entre les aires des deux hémisphères pour que le tout soit optimisé.
On sait également que, et Boris Cyrulnik en parle beaucoup, le cerveau crée quelque 300 millions de synapses par jour durant la petite enfance et l’adolescence si, et seulement si, le jeune se sent en sécurité. Cette sécurité se base sur la qualité du lien entre lui et un adulte – souvent le parent, mais aussi la puéricultrice ou l’enseignant – voire un groupe d’amis durant l’adolescence. Dès qu’il se sent insécurisé, les mécanismes de défense lui permettent de réagir, mais bloquent aussi le processus de maturation cérébrale.
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A quoi bon être intelligents, si c’est pour détruire la vie ?
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1) Quels sont les pièges à éviter pour un enfant ou un étudiant qui révise ?
De bonnes stratégies de travail nous aident à maîtriser plus facilement un nouveau savoir.
Piège 1 : Ne pas prendre le temps de s’installer dans un espace personnalisé, Séparé des distracteurs pour travailler sereinement. Agencer un environnement propice à la réussite. Trouver un endroit calme pour étudier. Disposer d’une table en permanence, une étagère dédiée pour regrouper les supports d’apprentissages au même endroit. L’espace de travail doit être bien rangé, car le plaisir vient avec l’ordre et les documents dont on a besoin sont la portée des mains.
Piège 2 : Ne pas avoir de pause créative après un travail de 20 minutes.
Des études indiquent que ne pas prendre des pauses engendrent de la fatigue mentale.La fatigue mentale correspond à une incapacité temporaire à atteindre ou maintenir une performance cognitive maximale suite à une activité mentale prolongée. En d’autres termes, on met plus de temps à lire, à réfléchir, et un rien perturbe notre attention. Il suffit que vous meniez une activité un peu trop longtemps pour que la fatigue mentale se fasse sentir.
Le cerveau stocke facilement… mais il efface aussi facilement.
De plus, « COMPRENDRE » NE SUFFIT PAS POUR « MÉMORISER », vous devez « OUBLIER » pour réactiver de ce que vous avez appris.
On restitue une information grâce à des indices récupérateurs (et encore mieux s’ils sont personnels), il est donc préférable de créer des fiches de révisions allégées et personnelles.
Piège 3 : Ne pas prendre le temps après la pause d’analyser son travail.
Être efficace ne veut pas dire réaliser tout ce que vous avez à faire, vous n’aurez jamais le temps nécessaire pour tout.
L’efficacité consiste à identifier les 20% des tâches qui vous apportent 80% des résultats, et de dédier tout le temps qu’il faut pour bien les réaliser.
Soyez clairs sur vos objectifs.
2) Qu’est-ce qu’une révision efficace ?
Comprendre est plus important que mémoriser de mon point de vue !
La révision efficace c’est donc se tester. Et souvent !
Des habitudes de réflexion augmentent l’efficacité des révisions et des apprentissages en général.
La réflexion est une forme de :
• Remémoration (que s’est-il passé ? qu’ai-je fait ? qu’est-ce que ça a donné ?)
• Élaboration (que ferais-je différemment la prochaine fois ?)
• Stimulation des canaux kinesthésiques (manipulation, toucher, écriture)
• Être actif et auteur du processus (sélection des informations importantes, rédaction des questions et des réponses, choix des mots ou des images au verso)
• Possibilité de mettre des images, des schémas, des photos ou des graphiques au dos des flash cards
• Format pratique, manipulable et transportable
• Révisions à plusieurs possibles
De bonnes stratégies de travail nous aident à maîtriser plus facilement un nouveau savoir.
Piège 1 : Ne pas prendre le temps de s’installer dans un espace personnalisé, Séparé des distracteurs pour travailler sereinement. Agencer un environnement propice à la réussite. Trouver un endroit calme pour étudier. Disposer d’une table en permanence, une étagère dédiée pour regrouper les supports d’apprentissages au même endroit. L’espace de travail doit être bien rangé, car le plaisir vient avec l’ordre et les documents dont on a besoin sont la portée des mains.
Piège 2 : Ne pas avoir de pause créative après un travail de 20 minutes.
Des études indiquent que ne pas prendre des pauses engendrent de la fatigue mentale.La fatigue mentale correspond à une incapacité temporaire à atteindre ou maintenir une performance cognitive maximale suite à une activité mentale prolongée. En d’autres termes, on met plus de temps à lire, à réfléchir, et un rien perturbe notre attention. Il suffit que vous meniez une activité un peu trop longtemps pour que la fatigue mentale se fasse sentir.
Le cerveau stocke facilement… mais il efface aussi facilement.
De plus, « COMPRENDRE » NE SUFFIT PAS POUR « MÉMORISER », vous devez « OUBLIER » pour réactiver de ce que vous avez appris.
On restitue une information grâce à des indices récupérateurs (et encore mieux s’ils sont personnels), il est donc préférable de créer des fiches de révisions allégées et personnelles.
Piège 3 : Ne pas prendre le temps après la pause d’analyser son travail.
Être efficace ne veut pas dire réaliser tout ce que vous avez à faire, vous n’aurez jamais le temps nécessaire pour tout.
L’efficacité consiste à identifier les 20% des tâches qui vous apportent 80% des résultats, et de dédier tout le temps qu’il faut pour bien les réaliser.
Soyez clairs sur vos objectifs.
2) Qu’est-ce qu’une révision efficace ?
Comprendre est plus important que mémoriser de mon point de vue !
La révision efficace c’est donc se tester. Et souvent !
Des habitudes de réflexion augmentent l’efficacité des révisions et des apprentissages en général.
La réflexion est une forme de :
• Remémoration (que s’est-il passé ? qu’ai-je fait ? qu’est-ce que ça a donné ?)
• Élaboration (que ferais-je différemment la prochaine fois ?)
• Stimulation des canaux kinesthésiques (manipulation, toucher, écriture)
• Être actif et auteur du processus (sélection des informations importantes, rédaction des questions et des réponses, choix des mots ou des images au verso)
• Possibilité de mettre des images, des schémas, des photos ou des graphiques au dos des flash cards
• Format pratique, manipulable et transportable
• Révisions à plusieurs possibles
A quoi bon être intelligents, si c’est pour détruire la vie ?
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La rédaction m’avait gentiment proposé de rédiger un texte répondant au titre « vivre dans la paix et en accord avec notre environnement pour être heureux ». Jolie pensée qui, fut un temps, m’aurait séduit… mais me semble à présent totalement anachronique, tant la question n’est plus aujourd’hui d’être heureux, mais de sauvegarder la Vie. Celle des humains bien sûr (en tout cas dans des conditions décentes), mais pas que ! Car c’est l’ensemble du vivant qui est menacé sur terre ; pour preuve la sixième extinction massive des espèces, la première à être provoquée par l’humain, la première à le concerner directement.
La base-line du premier numéro de ce magazine affichait « utiliser intelligemment son cerveau ». Est-ce bien ce que fait l’humain depuis son arrivée sur cette planète ?
Lorsqu’il survécut au milieu des mammouths, découvrit le feu ou la roue, sans conteste. Lorsqu’il posa les bases de la démocratie en Grèce ou rédigea la déclaration des droits de l’homme, chapeau bas ! A l’inverse, les guerres de religion ou la shoah montrèrent comment la plus grande cruauté peut prendre le pas sur toute forme d’humanité. Et pourtant, ces derniers épisodes, aussi traumatisants soient-ils, ne sont rien, comparés au spectacle que nous déroulons depuis la deuxième moitié du XXè siècle : la destruction exponentiellement accélérée de la vie sur terre, sous le regard impuissant et éberlué des consciences de plus en plus nombreuses qui, heureusement, s’éveillent.
La base-line du premier numéro de ce magazine affichait « utiliser intelligemment son cerveau ». Est-ce bien ce que fait l’humain depuis son arrivée sur cette planète ?
Lorsqu’il survécut au milieu des mammouths, découvrit le feu ou la roue, sans conteste. Lorsqu’il posa les bases de la démocratie en Grèce ou rédigea la déclaration des droits de l’homme, chapeau bas ! A l’inverse, les guerres de religion ou la shoah montrèrent comment la plus grande cruauté peut prendre le pas sur toute forme d’humanité. Et pourtant, ces derniers épisodes, aussi traumatisants soient-ils, ne sont rien, comparés au spectacle que nous déroulons depuis la deuxième moitié du XXè siècle : la destruction exponentiellement accélérée de la vie sur terre, sous le regard impuissant et éberlué des consciences de plus en plus nombreuses qui, heureusement, s’éveillent.
Apprendre à Apprendre avec la Gestion Mentale
🧠 La Gestion Mentale pour apprendre à apprendre par Axelle Adell
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LA RECONNEXION A SOI
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C’est désormais flagrant pour tout le monde : nous traversons une période de grands bouleversements. Des questions se posent pour l’avenir de la planète, auxquelles l’humanité va devoir répondre. De cette transition, elle sortira complètement changée.
Que va-t-il se passer ? L’avenir n’est pas une histoire écrite à l’avance à regarder se dérouler. Régi par la physique quantique, le temps se compose d’une infinité de lignes, un peu comme un réseau ferré. Dans le futur, toutes les potentialités coexistent, toutes également probables. Ce qui nous attend sur notre ligne de vie dépend des choix que nous faisons à chaque aiguillage. La transition que nous vivons actuellement est comme une énorme gare de triage. Pour faire simple, nous pouvons choisir de poursuivre sur la voie de la croissance à grande vitesse, en laissant le mental et l’ego aux commandes.
Ou bien nous choisissons de prendre un autre train, de profiter du voyage pour se rencontrer, pour jouir de la beauté du paysage, au rythme du cœur et sur la voie de l’âme.
Si l’humanité se laisse aller sur la première ligne, celle de la compétition effrénée, elle devra s’adapter aux aboutissements logiques vers lesquels fuit le mental: transhumanisme, intelligence artificielle, hypercontrôle.
C’est un cybermonde de plus en plus déshumanisé au profit de l’ego qui se profile par là. L’autre voyage, avec son empreinte carbone réduite, bénéficie d’une image positive mais il exige la participation de tous. Il promet moins de confort et réclame plus d’efforts… D’une manière ou d’une autre, la transition qui s’annonce sera pour tous une expérience bouleversante. Vécue comme un dépouillement par les uns, elle sera ressentie comme une vraie chance pour ceux qui en auront choisi la direction, pour ceux qui seront le changement. Une volonté de changer le monde qui s’engage sur l’ancien modèle ne fera que reproduire l’ancien. Espérer voir le monde changer en se cantonnant à cette seule volonté, c’est rester positionné sur la voie dangereuse du mental. Dépourvue d’ancrage et de repères, cette « bonne volonté » se laisse embrigader dans toutes sortes de projets menés par des manipulateurs en quête de volontaires. Si l’intuition fait défaut pour tirer la sonnette d’alarme, seul le mental et l’ego décident. Le mental se laisse convaincre par un raisonnement, l’ego par des compliments.
Si vous les laissez aux commandes, vous pourriez vous retrouver à œuvrer pour une cause qui n’est pas la vôtre, au profit d’un organisme ou d’une personne à qui vous faite aveuglément confiance. Ce n’est pas forcément une mauvaise personne mais, consciemment ou non, elle vous dévie de votre chemin pour vous faire suivre son projet. Ce n’est pas forcément un mauvais projet mais ce n’est pas le vôtre. Un vrai travail de recentrage sur soi est donc un indispensable avant de s’engager dans la voie du changement. Si l’on connaît le sens dans lequel on va, on se donne toutes les chances d’aller sur la bonne voie. Si tous ceux qui ambitionnent de « refaire le monde » commencent par changer eux-mêmes, l’espoir peut naître d’un renouveau possible.
Que va-t-il se passer ? L’avenir n’est pas une histoire écrite à l’avance à regarder se dérouler. Régi par la physique quantique, le temps se compose d’une infinité de lignes, un peu comme un réseau ferré. Dans le futur, toutes les potentialités coexistent, toutes également probables. Ce qui nous attend sur notre ligne de vie dépend des choix que nous faisons à chaque aiguillage. La transition que nous vivons actuellement est comme une énorme gare de triage. Pour faire simple, nous pouvons choisir de poursuivre sur la voie de la croissance à grande vitesse, en laissant le mental et l’ego aux commandes.
Ou bien nous choisissons de prendre un autre train, de profiter du voyage pour se rencontrer, pour jouir de la beauté du paysage, au rythme du cœur et sur la voie de l’âme.
Si l’humanité se laisse aller sur la première ligne, celle de la compétition effrénée, elle devra s’adapter aux aboutissements logiques vers lesquels fuit le mental: transhumanisme, intelligence artificielle, hypercontrôle.
C’est un cybermonde de plus en plus déshumanisé au profit de l’ego qui se profile par là. L’autre voyage, avec son empreinte carbone réduite, bénéficie d’une image positive mais il exige la participation de tous. Il promet moins de confort et réclame plus d’efforts… D’une manière ou d’une autre, la transition qui s’annonce sera pour tous une expérience bouleversante. Vécue comme un dépouillement par les uns, elle sera ressentie comme une vraie chance pour ceux qui en auront choisi la direction, pour ceux qui seront le changement. Une volonté de changer le monde qui s’engage sur l’ancien modèle ne fera que reproduire l’ancien. Espérer voir le monde changer en se cantonnant à cette seule volonté, c’est rester positionné sur la voie dangereuse du mental. Dépourvue d’ancrage et de repères, cette « bonne volonté » se laisse embrigader dans toutes sortes de projets menés par des manipulateurs en quête de volontaires. Si l’intuition fait défaut pour tirer la sonnette d’alarme, seul le mental et l’ego décident. Le mental se laisse convaincre par un raisonnement, l’ego par des compliments.
Si vous les laissez aux commandes, vous pourriez vous retrouver à œuvrer pour une cause qui n’est pas la vôtre, au profit d’un organisme ou d’une personne à qui vous faite aveuglément confiance. Ce n’est pas forcément une mauvaise personne mais, consciemment ou non, elle vous dévie de votre chemin pour vous faire suivre son projet. Ce n’est pas forcément un mauvais projet mais ce n’est pas le vôtre. Un vrai travail de recentrage sur soi est donc un indispensable avant de s’engager dans la voie du changement. Si l’on connaît le sens dans lequel on va, on se donne toutes les chances d’aller sur la bonne voie. Si tous ceux qui ambitionnent de « refaire le monde » commencent par changer eux-mêmes, l’espoir peut naître d’un renouveau possible.
Comment lutter contre le burn out pendant les études ?
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POUR UNE PEDAGOGIE DE L'AUTONOMIE !
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Que l'apprenant soit capable d'apprendre en autonomie ne serait-ce pas inévitablement le graal auquel beaucoup de personnes qui gravitent autour des apprentissages, aspirent avec ardeur ? C'est probablement une des raisons pour lesquelles, une multiplicité de conseils, de méthodes, de techniques, de trucs et d'astuces grouillent sous différentes formes et à partir de multiples supports pour abreuver l'apprenant de moyens divers et variés afin de lui permettre de s'en emparer, en supposant implicitement qu'il gagnera en autonomie. Mais ne serait-ce pas préférable que celui qui apprend découvre en lui, les moyens mentaux dont il dispose et ceux dont il pourrait s'enrichir pour réussir à apprendre en autonomie ?
N'est-ce pas l'apprenant et lui seul qui devrait pouvoir mobiliser et agir sur sa pensée pour développer les stratégies mentales adaptées à tout acte d'apprentissage ?
Aucun élève ne se lève le matin pour échouer mais apprendre n'est certainement pas simple ! Imaginez ce que peut ressentir le petit enfant lorsqu'il rencontre pour la première fois l'objet d'apprentissage que représente une poésie… Il commence à peine à décoder les lettres dans l'univers des syllabes et des sons qu'on lui demande d'apprendre un amas de mots, qui devront être récités "par cœur", devant toute la classe le lendemain. Commence alors la ronde des "Tu devrais…, Tu n'as qu'à…, Il faut que tu…", ignorant, avec les meilleures intentions du monde, que l'apprenant possède en lui une spécificité mentale, des habitudes de traitement d'information potentiellement réutilisables, qui pourraient si elles lui étaient révélées, servir la cause de l'acte d'apprendre avec efficacité et plaisir. Au lieu de cela, l'apprenant est maintenu dans la certitude que les techniques découleront de conseils extérieurs à sa nature cognitive.
N'est-ce pas l'apprenant et lui seul qui devrait pouvoir mobiliser et agir sur sa pensée pour développer les stratégies mentales adaptées à tout acte d'apprentissage ?
Aucun élève ne se lève le matin pour échouer mais apprendre n'est certainement pas simple ! Imaginez ce que peut ressentir le petit enfant lorsqu'il rencontre pour la première fois l'objet d'apprentissage que représente une poésie… Il commence à peine à décoder les lettres dans l'univers des syllabes et des sons qu'on lui demande d'apprendre un amas de mots, qui devront être récités "par cœur", devant toute la classe le lendemain. Commence alors la ronde des "Tu devrais…, Tu n'as qu'à…, Il faut que tu…", ignorant, avec les meilleures intentions du monde, que l'apprenant possède en lui une spécificité mentale, des habitudes de traitement d'information potentiellement réutilisables, qui pourraient si elles lui étaient révélées, servir la cause de l'acte d'apprendre avec efficacité et plaisir. Au lieu de cela, l'apprenant est maintenu dans la certitude que les techniques découleront de conseils extérieurs à sa nature cognitive.
La puissance de nos mots au quotidien
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La puissance des mots au quotidien
Goethe disait « Parler est un besoin écouter est un Art » et si finalement parler était aussi un Art.
L’art de choisir les bons mots et de savoir les choisir afin qu’ils génèrent du bien-être et non des maux ! Parler nous permet de communiquer, de transmettre des messages.
Cependant, nous le vivons tous, l’observons, le constatons au quotidien, parfois, un mot, une façon de formuler une phrase peut tout faire basculer, du bon comme du mauvais côté. Alors, il est temps que nous prenions conscience, que nos paroles détiennent un pouvoir : celui de détruire ou celui construire, voire guérir.
Par habitude, par mode, ou encore en fonction de notre culture, nous utilisons des mots par automatisme sans même avoir conscience de leur impact. Et pourtant, nos mots au travers de nos paroles ont un effet sur soi autant que sur les autres.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que notre cerveau se met au diapason des mots qu’il entend. Les mots que nous utilisons engendre nos émotions et de fait nos comportements. Prendre conscience de ceci est primordial, si nous désirons un état d’esprit positif et nous offrir bienêtre et santé. Très souvent, nous utilisons un mot inapproprié pour nous exprimer et ceci créé un réel effet sur notre cerveau qui va percevoir nos paroles comme réelles. Car il est important de savoir que le cerveau ne fait pas la différence entre ce qui est vrai ou faux. Ainsi, si vous utilisez un mot à connotation négative, votre cerveau va l’interpréter comme tel.
Par exemple, il arrive souvent que j’entende des personnes employées le mot « problème » pour évoquer une situation « le problème, c’est que c’est impossible de me rendre disponible aujourd’hui ».
L’art de choisir les bons mots et de savoir les choisir afin qu’ils génèrent du bien-être et non des maux ! Parler nous permet de communiquer, de transmettre des messages.
Cependant, nous le vivons tous, l’observons, le constatons au quotidien, parfois, un mot, une façon de formuler une phrase peut tout faire basculer, du bon comme du mauvais côté. Alors, il est temps que nous prenions conscience, que nos paroles détiennent un pouvoir : celui de détruire ou celui construire, voire guérir.
Par habitude, par mode, ou encore en fonction de notre culture, nous utilisons des mots par automatisme sans même avoir conscience de leur impact. Et pourtant, nos mots au travers de nos paroles ont un effet sur soi autant que sur les autres.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que notre cerveau se met au diapason des mots qu’il entend. Les mots que nous utilisons engendre nos émotions et de fait nos comportements. Prendre conscience de ceci est primordial, si nous désirons un état d’esprit positif et nous offrir bienêtre et santé. Très souvent, nous utilisons un mot inapproprié pour nous exprimer et ceci créé un réel effet sur notre cerveau qui va percevoir nos paroles comme réelles. Car il est important de savoir que le cerveau ne fait pas la différence entre ce qui est vrai ou faux. Ainsi, si vous utilisez un mot à connotation négative, votre cerveau va l’interpréter comme tel.
Par exemple, il arrive souvent que j’entende des personnes employées le mot « problème » pour évoquer une situation « le problème, c’est que c’est impossible de me rendre disponible aujourd’hui ».
Comment muscler son cerveau pour mieux apprendre ?
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En moyenne, le cerveau pèse 2% du poids total du corps humain, et pourtant il en consomme près de 20% des dépenses énergétiques. Indubitablement l’organe le plus complexe de notre espèce, le cerveau comprend des centaines de milliards de cellules cérébrales (appelées « neurones ») qui, collectivement, coordonnent autant le maintien des fonctions vitales de base (respiration, circulation, digestion, etc.) que des fonctions aussi avancées que la pensée, le langage, la conscience et la mémoire.
Malheureusement, les gens ne s’intéressent généralement au bien-être cérébral qu’à la suite d’un diagnostic impactant leurs capacités cognitives ou celles de leurs proches. Pourquoi attendre une situation dramatique ? Que ce soit pour des enfants en difficultés d’apprentissage, ou pour des adultes souhaitant améliorer les compétences requises pour leur métier, nous pourrions tous tirer profit d’un cerveau plus « musclé ».
Le système éducatif traditionnel ne tient pas non plus compte des aptitudes cérébrales de chacun. C’est d’ailleurs pour cela que les élèves sont groupés en fonction de leur âge et non de leurs capacités cognitives, telles que leur faculté à raisonner, mémoriser, ou se concentrer. Comment donc espérer que des élèves aux compétences cognitives disparates apprennent la même chose au même rythme ?
En dépit de l’accélération du vieillissement démographique, le déclin des fonctions cognitives avec l’âge reste attribué aux effets immuables du vieillissement dit « normal » ou « naturel ». Or, la recherche en neurosciences prouve que ce n’est pas l’âge mais l’absence de stimulation suffisante qui affaiblit puis détériore le réseau de neurones, moteur de notre cerveau. Cette baisse de stimulation au cours de la vie peut s’expliquer par le développement graduel d’habitudes quotidiennes et de l’établissement d’une routine professionnelle.
S’il n’existe actuellement pas de solution miracle pour le cerveau, les études scientifiques tendent à converger vers la même conclusion : suivre un certain mode de vie permettrait d’entretenir et accroître son bien-être cérébral, quelque soit son âge. Cette approche holistique repose sur la neuroplasticité, c'est-à-dire la production de nouvelles connexions entre les neurones et possiblement la création de nouveaux neurones.
Malheureusement, les gens ne s’intéressent généralement au bien-être cérébral qu’à la suite d’un diagnostic impactant leurs capacités cognitives ou celles de leurs proches. Pourquoi attendre une situation dramatique ? Que ce soit pour des enfants en difficultés d’apprentissage, ou pour des adultes souhaitant améliorer les compétences requises pour leur métier, nous pourrions tous tirer profit d’un cerveau plus « musclé ».
Le système éducatif traditionnel ne tient pas non plus compte des aptitudes cérébrales de chacun. C’est d’ailleurs pour cela que les élèves sont groupés en fonction de leur âge et non de leurs capacités cognitives, telles que leur faculté à raisonner, mémoriser, ou se concentrer. Comment donc espérer que des élèves aux compétences cognitives disparates apprennent la même chose au même rythme ?
En dépit de l’accélération du vieillissement démographique, le déclin des fonctions cognitives avec l’âge reste attribué aux effets immuables du vieillissement dit « normal » ou « naturel ». Or, la recherche en neurosciences prouve que ce n’est pas l’âge mais l’absence de stimulation suffisante qui affaiblit puis détériore le réseau de neurones, moteur de notre cerveau. Cette baisse de stimulation au cours de la vie peut s’expliquer par le développement graduel d’habitudes quotidiennes et de l’établissement d’une routine professionnelle.
S’il n’existe actuellement pas de solution miracle pour le cerveau, les études scientifiques tendent à converger vers la même conclusion : suivre un certain mode de vie permettrait d’entretenir et accroître son bien-être cérébral, quelque soit son âge. Cette approche holistique repose sur la neuroplasticité, c'est-à-dire la production de nouvelles connexions entre les neurones et possiblement la création de nouveaux neurones.
Et si la discipline était votre coach ?!
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1. Comment la discipline peut aider à mieux apprendre ?
D’abord, on me pose souvent la question : « Tina, comment fais-tu pour réaliser tant de projets, travailler, monoparentalité, voyager et garder la forme, une belle vitalité ? – Et si la discipline était votre coach ?! » Discipline !!! Squick dans le ventre !!! Pour plusieurs, le mot discipline est inconfortable tel le mot dentiste. Pourquoi ? Parce qu’ils ont associés neurologiquement des émotions désagréables au mot discipline pour qui elle peut représenter l’autorité, l’attitude sévère, le manque de liberté, l’absence de plaisir etc.
Pourtant à mes yeux, la discipline, c’est le pouvoir de choisir ce qui est bon pour nous et d’agir pour l’obtenir. Quand nous avons fini nos trucs et atteint nos objectifs, c’est la joie, la fierté et la paix qui nous habitent en plus de gagner du temps pour nous amuser. Autrement, qu’est-ce qui se passe ? C’est la culpabilité qui nous habite qui augmente notre charge mentale et qui nous déconnecte du moment présent. Elle est inutile, nuisible et puise notre énergie. Pour moi, c’est ça la prison loin de mes rêves !
La discipline positive, c’est établir une routine, de la constance, des rituels tous les jours ce qui apporte la gestion de temps et par le fait même la gestion de stress. Tout est dans la répétition. Faire dix mille fois une chose plutôt que dix mille choses une fois permet la mémorisation et surtout l’amélioration. Le geste d’écrire à la main favorise encore mieux l’apprentissage, l’ancrage de l’information et la diminution de la charge mentale. Je suis profondément convaincue que la discipline nous aide à mieux apprendre.
2. Comment muscler sa discipline sans s’épuiser ?
Pour vivre en toute vitalité, cela demande de la discipline et le développement de la discipline demande de la vitalité, un bon capital énergétique. Notre corps est notre véhicule. À quoi carburons-nous ? De l’ordinaire ou du suprême ? Il est souvent naturel d’ajouter du suprême dans notre voiture et pourtant de l’ordinaire dans notre corps. Combien de fois avons-nous fait rouler notre auto afin d’éviter qu’elle s’encrasse ? Combien de fois avons-nous activé notre corps & notre esprit afin d’éviter qu’ils s’encrassent ? Un corps souple amène un esprit souple. Et la souplesse d’esprit mène à une souplesse physique. Ils vont de pair J Notre corps et notre cerveau sont nos machines. La discipline positive, c’est de nous traiter en première classe avec souplesse mentale, loin de la rigidité, des croyances limitantes et des pensées saboteuses. D’abord, par des choix sains au niveau de son alimentation, activité physique, ses pensées, croyances, état d’esprit, bon sommeil et surtout en se permettant du plaisir et la célébration. Le plaisir motive, la peur et la rigidité inhibent. Prendre le temps de célébrer chaque petit pas permet de conserver la motivation, car elle est instable telle les émotions.
Ajouter à son agenda des temps de repos est nécessaire pour conserver la discipline sans s’épuiser.
D’abord, on me pose souvent la question : « Tina, comment fais-tu pour réaliser tant de projets, travailler, monoparentalité, voyager et garder la forme, une belle vitalité ? – Et si la discipline était votre coach ?! » Discipline !!! Squick dans le ventre !!! Pour plusieurs, le mot discipline est inconfortable tel le mot dentiste. Pourquoi ? Parce qu’ils ont associés neurologiquement des émotions désagréables au mot discipline pour qui elle peut représenter l’autorité, l’attitude sévère, le manque de liberté, l’absence de plaisir etc.
Pourtant à mes yeux, la discipline, c’est le pouvoir de choisir ce qui est bon pour nous et d’agir pour l’obtenir. Quand nous avons fini nos trucs et atteint nos objectifs, c’est la joie, la fierté et la paix qui nous habitent en plus de gagner du temps pour nous amuser. Autrement, qu’est-ce qui se passe ? C’est la culpabilité qui nous habite qui augmente notre charge mentale et qui nous déconnecte du moment présent. Elle est inutile, nuisible et puise notre énergie. Pour moi, c’est ça la prison loin de mes rêves !
La discipline positive, c’est établir une routine, de la constance, des rituels tous les jours ce qui apporte la gestion de temps et par le fait même la gestion de stress. Tout est dans la répétition. Faire dix mille fois une chose plutôt que dix mille choses une fois permet la mémorisation et surtout l’amélioration. Le geste d’écrire à la main favorise encore mieux l’apprentissage, l’ancrage de l’information et la diminution de la charge mentale. Je suis profondément convaincue que la discipline nous aide à mieux apprendre.
2. Comment muscler sa discipline sans s’épuiser ?
Pour vivre en toute vitalité, cela demande de la discipline et le développement de la discipline demande de la vitalité, un bon capital énergétique. Notre corps est notre véhicule. À quoi carburons-nous ? De l’ordinaire ou du suprême ? Il est souvent naturel d’ajouter du suprême dans notre voiture et pourtant de l’ordinaire dans notre corps. Combien de fois avons-nous fait rouler notre auto afin d’éviter qu’elle s’encrasse ? Combien de fois avons-nous activé notre corps & notre esprit afin d’éviter qu’ils s’encrassent ? Un corps souple amène un esprit souple. Et la souplesse d’esprit mène à une souplesse physique. Ils vont de pair J Notre corps et notre cerveau sont nos machines. La discipline positive, c’est de nous traiter en première classe avec souplesse mentale, loin de la rigidité, des croyances limitantes et des pensées saboteuses. D’abord, par des choix sains au niveau de son alimentation, activité physique, ses pensées, croyances, état d’esprit, bon sommeil et surtout en se permettant du plaisir et la célébration. Le plaisir motive, la peur et la rigidité inhibent. Prendre le temps de célébrer chaque petit pas permet de conserver la motivation, car elle est instable telle les émotions.
Ajouter à son agenda des temps de repos est nécessaire pour conserver la discipline sans s’épuiser.