Prendre la parole devant un public fait partie du top 3 des peurs humaines au-dessus de celle des serpents !
Cette peur prend plusieurs masques, par exemple la peur de bafouiller, la peur de vivre un trou de mémoire, d’être pris en défaut, d’avoir dans l’auditoire quelqu’un de plus performant que soi.
Résultat, nous nous retrouvons en apnée, articulons des « euh » à répétition en croisant les jambes et en regardant péniblement notre auditoire. Nous sommes présents sans être là car toute notre énergie se concentre pour ne pas montrer que nous sommes stressés. Bref, un moment douloureux.
Durant nos années au collège ou au lycée, nous n’avons pas appris à nous exprimer devant un groupe et encore moins à expérimenter différentes approches pour apprivoiser la communication orale, de facto à découvrir notre identité d’orateur.
Ainsi, une fois adulte, la plupart de nos prises de parole sont teintées d’une double peur. Celle que l’auditoire nous évalue comme nul et celle de nous juger comme nul.
A cette croyance, s’ajoute l’impression d’être transparent. En effet, lorsque je me présente devant un auditoire, je me montre tel que je suis et non pas tel que je voudrais être, y compris l’image du corps. Nous avons l’impression que notre public peut lire en nous comme dans un livre ouvert et ainsi déceler ce que nous nous évertuons à cacher via des jeux de rôle plus ou moins bien huilés, et particulièrement dans un cadre professionnel.
Rappelons que l’être humain est un animal intrinsèquement social qui a besoin pour exister d’être reconnu, apprécié et respecté. Alors, cette peur que nous ressentons à des degrés divers selon les personnes est la peur d’être jugé. Autrement dit, la peur de l’hypothèse que notre auditoire nous évalue comme une personne qui ne peut pas être reconnue, appréciée ni respectée.
Quand nous sommes confrontés à une situation stressante, nous pensons négativement en nous répétant des phrases du type : je ne vais pas y arriver, ils vont me trouver nul, je ne mérite pas d’être là. Le souci qu’occasionne ce type de pensées est que nous envoyons à notre cerveau une information qu’il va considérer comme vraie alors qu’elle n’est que l’origine de notre peur.
Notre cerveau ne fait pas la distinction entre nos pensées et la réalité. Imaginez qu’il faut chaud, que vous coupez un citron très juteux, vous pressez la moitié du fruit au-dessus de votre bouche en inclinant légèrement votre tête en arrière. Vous commencerez à saliver. Pourtant, il n’y a pas de citron. Pour votre cerveau, le citron existe et est bien réel.
La première recommandation que je vous propose est, dans le cas d’une situation stressante, de visualiser l’événement se déroulant parfaitement bien afin d’envoyer à votre cerveau une information positive. À la façon des sportifs de haut niveau qui, accompagnés de leur coach, visualisent leur épreuve dans les moindres détails jusqu’aux couleurs, aux odeurs, aux mouvements du public et au ressenti de leur performance.
Julian Treasure nous indique que les quatre piliers pour une bonne prise de parole sont l’honnêteté, l’intégrité, l’authenticité et l’amour, dans le sens de bienveillance.
Autrement dit, lorsque je m’exprime, je veux le bien de l’autre. Osez, testez une prise de parole qui vous ressemble et soyez convaincu de ce que vous dites. Le reste, c’est de la technique et la technique s’apprend.
Particulièrement les trois appuis de la prise de parole en public que sont la respiration, la voix et le regard. La première zone du corps qui se tend lorsque l’on est stressé est la nuque. Alors, pour nous soulager, nous remontons nos épaules ce qui engendre une hausse de notre diaphragme qui nous empêche de respirer convenablement. Il est à noter que la respiration de l’auditoire se cale subtilement et inconsciemment sur celle de l’orateur.
De plus, une mauvaise respiration augmente le stress car nous n’apportons pas ni à notre cerveau ni à notre corps le souffle dont ils ont besoin pour fonctionner convenablement.
Résultat, nous nous retrouvons en apnée, articulons des « euh » à répétition en croisant les jambes et en regardant péniblement notre auditoire. Nous sommes présents sans être là car toute notre énergie se concentre pour ne pas montrer que nous sommes stressés. Bref, un moment douloureux.
Durant nos années au collège ou au lycée, nous n’avons pas appris à nous exprimer devant un groupe et encore moins à expérimenter différentes approches pour apprivoiser la communication orale, de facto à découvrir notre identité d’orateur.
Ainsi, une fois adulte, la plupart de nos prises de parole sont teintées d’une double peur. Celle que l’auditoire nous évalue comme nul et celle de nous juger comme nul.
A cette croyance, s’ajoute l’impression d’être transparent. En effet, lorsque je me présente devant un auditoire, je me montre tel que je suis et non pas tel que je voudrais être, y compris l’image du corps. Nous avons l’impression que notre public peut lire en nous comme dans un livre ouvert et ainsi déceler ce que nous nous évertuons à cacher via des jeux de rôle plus ou moins bien huilés, et particulièrement dans un cadre professionnel.
Rappelons que l’être humain est un animal intrinsèquement social qui a besoin pour exister d’être reconnu, apprécié et respecté. Alors, cette peur que nous ressentons à des degrés divers selon les personnes est la peur d’être jugé. Autrement dit, la peur de l’hypothèse que notre auditoire nous évalue comme une personne qui ne peut pas être reconnue, appréciée ni respectée.
Quand nous sommes confrontés à une situation stressante, nous pensons négativement en nous répétant des phrases du type : je ne vais pas y arriver, ils vont me trouver nul, je ne mérite pas d’être là. Le souci qu’occasionne ce type de pensées est que nous envoyons à notre cerveau une information qu’il va considérer comme vraie alors qu’elle n’est que l’origine de notre peur.
Notre cerveau ne fait pas la distinction entre nos pensées et la réalité. Imaginez qu’il faut chaud, que vous coupez un citron très juteux, vous pressez la moitié du fruit au-dessus de votre bouche en inclinant légèrement votre tête en arrière. Vous commencerez à saliver. Pourtant, il n’y a pas de citron. Pour votre cerveau, le citron existe et est bien réel.
La première recommandation que je vous propose est, dans le cas d’une situation stressante, de visualiser l’événement se déroulant parfaitement bien afin d’envoyer à votre cerveau une information positive. À la façon des sportifs de haut niveau qui, accompagnés de leur coach, visualisent leur épreuve dans les moindres détails jusqu’aux couleurs, aux odeurs, aux mouvements du public et au ressenti de leur performance.
Julian Treasure nous indique que les quatre piliers pour une bonne prise de parole sont l’honnêteté, l’intégrité, l’authenticité et l’amour, dans le sens de bienveillance.
Autrement dit, lorsque je m’exprime, je veux le bien de l’autre. Osez, testez une prise de parole qui vous ressemble et soyez convaincu de ce que vous dites. Le reste, c’est de la technique et la technique s’apprend.
Particulièrement les trois appuis de la prise de parole en public que sont la respiration, la voix et le regard. La première zone du corps qui se tend lorsque l’on est stressé est la nuque. Alors, pour nous soulager, nous remontons nos épaules ce qui engendre une hausse de notre diaphragme qui nous empêche de respirer convenablement. Il est à noter que la respiration de l’auditoire se cale subtilement et inconsciemment sur celle de l’orateur.
De plus, une mauvaise respiration augmente le stress car nous n’apportons pas ni à notre cerveau ni à notre corps le souffle dont ils ont besoin pour fonctionner convenablement.
Je vous invite à observer la façon dont vous respirez demain matin à votre réveil, avant même d’avoir posé un pied au sol.
Vous constaterez une respiration ventrale naturelle nécessaire à notre bien être car lorsque nous dormons, notre corps reprend ses droits et respire comme il en a besoin. Il est facile de s’entrainer chaque jour dans le métro, avant de s’endormir ou en marchant pour reprendre le réflexe d’une respiration ventrale naturelle.
Si vous respirez bien, votre stress se réduira et en plus vous accepterez d’instaurer des silences lorsque vous parlez.
Une respiration ample permet une bonne oxygénation, de dénouer les muscles, d’apaiser l’intellect, d’atténuer le stress et améliore aussi le débit de la voix.
Le deuxième appui de la prise de parole en public qu’est la voix est tout aussi important. Fondamentalement, la voix est portée par les voyelles - du latin vocalis qui fait entendre un son – le seul élément sonore de la parole. La consonne ne fait qu’accompagner la voyelle. Il est important donc de bien les prononcer et ce, jusqu’à la dernière syllabe des mots. En prise de parole, on préférera un [élève] plutôt qu’un [élèv] comme nous en avons l’habitude en mode conversationnel.
Un exercice aux résultats spectaculaires est l’exercice de Démosthène. Célèbre homme d’Etat athénien en -384 avant Jésus-Christ qui souffrait de graves défauts d’élocution. Il répétait ses plaidoiries à l’aide de petits cailloux face à la mer et est devenu un des plus grands orateurs attiques. Remplaçons les petits cailloux par un crayon qui possède les mêmes qualités. Placez le crayon dans sa longueur dans votre bouche en le serrant avec vos dents. Votre langue doit continuer à bouger et lisez un texte à haute voix en appuyant sur toutes les syllabes qui se doivent d’être intelligibles. Quelques minutes par jour suffisent à muscler votre appareil phonatoire. Vous parlerez ainsi avec plus d’aisance et une meilleure articulation. Vous pouvez aussi vous entrainer à lire à haute voix des virelangues que vous trouverez aisément sur Internet.
Pour ce qui est du regard, entrainez-vous à regarder dans les yeux les personnes à qui vous vous adressez. Sans cela, votre interlocuteur ne se sentira pas exister pour vous et n’aura aucune envie de vous écouter.
Et enfin, une présentation se prépare. Comme le disait Winston Churchill « une prise de parole spontanée a été répétée au moins 3 fois. »
Dans un premier temps, je vous invite à ne pas bondir sur votre ordinateur ou sur une feuille blanche pour écrire tout de suite votre plan. Questionnez-vous en amont. Cela vous assurera une présentation claire et aboutie.
La première question à vous poser est quel est le message que vous souhaitez faire passer ? seconde question, à l’issue de votre présentation, que souhaitez-vous que votre public fasse ? autrement dit quelle action désirez-vous déclencher chez votre interlocuteur ? la troisième question est que voulez-vous que votre public retienne ? sachant que votre public ne retiendra en moyenne que 20% de ce que vous direz, quels sont ces 20% ? Cette question est cruciale car vous déterminerez ainsi le message essentiel de votre discours. Et enfin, que souhaitez-vous que votre public ressente ? l’émotion, le sentiment fait partie de toute parole, par exemple la confiance ou l’envie d’appartenir à une idée ou une entreprise.
Commencez votre présentation efficacement et solidement par une introduction marquante sans tourner autour du pot et sans vous présenter tout de suite. Nous n’avons que quelques secondes pour que notre public décide ou non de nous écouter. Vous pouvez démarrer votre prise de parole en posant une question en lien avec votre sujet, en annonçant une affirmation frappante par exemple et concluez vraiment. C’est-à-dire en reprenant les points clés de votre présentation, en appelant à l’action ou par une déclaration mémorable. Ces deux éléments sont prépondérants dans une présentation car il s’agit du premier et du dernier goût que vous laisserez.
Enregistrez-vous afin d’éradiquer vos tics oratoires tels que les « euh » et instaurez des silences dans votre présentation. Considérez qu’un silence est un mot à part entière et que vos interlocuteurs ont besoin de ces silences pour intégrer ce que vous êtes en train de dire.
Quoiqu’il en soit, ne cherchez pas à tout dire, surtout pas, nous avons tous ce défaut. Synthétiser, alléger, soyez adepte du concept "Less is more", moins dire mais beaucoup mieux le dire.
L’éloquence n’est pas un don réservé à certaines personnes. Il s’agit tout d’abord de trouver l’angle qui vous convient en considérant toujours votre auditoire. C’est votre approche qui vous rendra singulier et plus serein. Car au fond, les orateurs dont on se souvient sont ceux qui ont parlé avec authenticité et conviction et que nous avons écoutés avec plaisir sans avoir à fournir d’efforts.
Vous constaterez une respiration ventrale naturelle nécessaire à notre bien être car lorsque nous dormons, notre corps reprend ses droits et respire comme il en a besoin. Il est facile de s’entrainer chaque jour dans le métro, avant de s’endormir ou en marchant pour reprendre le réflexe d’une respiration ventrale naturelle.
Si vous respirez bien, votre stress se réduira et en plus vous accepterez d’instaurer des silences lorsque vous parlez.
Une respiration ample permet une bonne oxygénation, de dénouer les muscles, d’apaiser l’intellect, d’atténuer le stress et améliore aussi le débit de la voix.
Le deuxième appui de la prise de parole en public qu’est la voix est tout aussi important. Fondamentalement, la voix est portée par les voyelles - du latin vocalis qui fait entendre un son – le seul élément sonore de la parole. La consonne ne fait qu’accompagner la voyelle. Il est important donc de bien les prononcer et ce, jusqu’à la dernière syllabe des mots. En prise de parole, on préférera un [élève] plutôt qu’un [élèv] comme nous en avons l’habitude en mode conversationnel.
Un exercice aux résultats spectaculaires est l’exercice de Démosthène. Célèbre homme d’Etat athénien en -384 avant Jésus-Christ qui souffrait de graves défauts d’élocution. Il répétait ses plaidoiries à l’aide de petits cailloux face à la mer et est devenu un des plus grands orateurs attiques. Remplaçons les petits cailloux par un crayon qui possède les mêmes qualités. Placez le crayon dans sa longueur dans votre bouche en le serrant avec vos dents. Votre langue doit continuer à bouger et lisez un texte à haute voix en appuyant sur toutes les syllabes qui se doivent d’être intelligibles. Quelques minutes par jour suffisent à muscler votre appareil phonatoire. Vous parlerez ainsi avec plus d’aisance et une meilleure articulation. Vous pouvez aussi vous entrainer à lire à haute voix des virelangues que vous trouverez aisément sur Internet.
Pour ce qui est du regard, entrainez-vous à regarder dans les yeux les personnes à qui vous vous adressez. Sans cela, votre interlocuteur ne se sentira pas exister pour vous et n’aura aucune envie de vous écouter.
Et enfin, une présentation se prépare. Comme le disait Winston Churchill « une prise de parole spontanée a été répétée au moins 3 fois. »
Dans un premier temps, je vous invite à ne pas bondir sur votre ordinateur ou sur une feuille blanche pour écrire tout de suite votre plan. Questionnez-vous en amont. Cela vous assurera une présentation claire et aboutie.
La première question à vous poser est quel est le message que vous souhaitez faire passer ? seconde question, à l’issue de votre présentation, que souhaitez-vous que votre public fasse ? autrement dit quelle action désirez-vous déclencher chez votre interlocuteur ? la troisième question est que voulez-vous que votre public retienne ? sachant que votre public ne retiendra en moyenne que 20% de ce que vous direz, quels sont ces 20% ? Cette question est cruciale car vous déterminerez ainsi le message essentiel de votre discours. Et enfin, que souhaitez-vous que votre public ressente ? l’émotion, le sentiment fait partie de toute parole, par exemple la confiance ou l’envie d’appartenir à une idée ou une entreprise.
Commencez votre présentation efficacement et solidement par une introduction marquante sans tourner autour du pot et sans vous présenter tout de suite. Nous n’avons que quelques secondes pour que notre public décide ou non de nous écouter. Vous pouvez démarrer votre prise de parole en posant une question en lien avec votre sujet, en annonçant une affirmation frappante par exemple et concluez vraiment. C’est-à-dire en reprenant les points clés de votre présentation, en appelant à l’action ou par une déclaration mémorable. Ces deux éléments sont prépondérants dans une présentation car il s’agit du premier et du dernier goût que vous laisserez.
Enregistrez-vous afin d’éradiquer vos tics oratoires tels que les « euh » et instaurez des silences dans votre présentation. Considérez qu’un silence est un mot à part entière et que vos interlocuteurs ont besoin de ces silences pour intégrer ce que vous êtes en train de dire.
Quoiqu’il en soit, ne cherchez pas à tout dire, surtout pas, nous avons tous ce défaut. Synthétiser, alléger, soyez adepte du concept "Less is more", moins dire mais beaucoup mieux le dire.
L’éloquence n’est pas un don réservé à certaines personnes. Il s’agit tout d’abord de trouver l’angle qui vous convient en considérant toujours votre auditoire. C’est votre approche qui vous rendra singulier et plus serein. Car au fond, les orateurs dont on se souvient sont ceux qui ont parlé avec authenticité et conviction et que nous avons écoutés avec plaisir sans avoir à fournir d’efforts.
Christine Abadie, accompagne les dirigeants et managers dans leur communication orale en formations en entreprise et en coaching individuel depuis plus de 10 ans.
Christine est issue d’une formation en psychologie, commerciale et transactionnelle. Après avoir assuré la direction d’un groupe immobilier, elle créée consécutivement 2 structures spécialisées dans l’immobilier haut de gamme.
Elle choisit ensuite d’évoluer vers une fonction marketing et communication au sein d’une grande entreprise de services puis d’une entreprise de bien-être.
Convaincue de la nécessité pour les entreprises de renouveler leurs modes de communication, elle créée la société B com’ D, une agence de communication par la bande dessinée.
Christine Abadie a suivi la formation H.E.C 2012, Executive Coaching, Expertise et Perfectionnement ainsi que la formation M.B.S.R, et elle rejoint l’E.N.A en 2016 pour se former à la rédaction des discours.
Forte de ces expériences, elle publie un ouvrage « Et si on arrêtait de se la raconter, pour être nous-mêmes ! Manuel pour une bonne prise de parole en public »
Christine est issue d’une formation en psychologie, commerciale et transactionnelle. Après avoir assuré la direction d’un groupe immobilier, elle créée consécutivement 2 structures spécialisées dans l’immobilier haut de gamme.
Elle choisit ensuite d’évoluer vers une fonction marketing et communication au sein d’une grande entreprise de services puis d’une entreprise de bien-être.
Convaincue de la nécessité pour les entreprises de renouveler leurs modes de communication, elle créée la société B com’ D, une agence de communication par la bande dessinée.
Christine Abadie a suivi la formation H.E.C 2012, Executive Coaching, Expertise et Perfectionnement ainsi que la formation M.B.S.R, et elle rejoint l’E.N.A en 2016 pour se former à la rédaction des discours.
Forte de ces expériences, elle publie un ouvrage « Et si on arrêtait de se la raconter, pour être nous-mêmes ! Manuel pour une bonne prise de parole en public »
CET ARTICLE EST UN EXTRAIT DE :
PASSION d'APPRENDRE Magazine
Vos réactions (1)
Bonjour,
En visualisant je découvre que cette plate-forme est un espace à haut potentiel.
Des articles très diversifiés traitant des sujets ciblés et d'une grande importance.
Je remercie vivement tous les intervenants de leurs efforts en plus de leur générosité.
Zhor Amiri (Maroc)